Tant qu'il reste quelque chose à détruire - Mag lévèque
11,00 €
Aucune taxe
Tant qu’il reste quelque chose à détruire est le chemin poétique d’une reconstruction après le viol. Mag Lévêque éclaire par le poème le lien à la honte, à la culpabilité, à la sexualité. Au-delà du témoignage, elle parvient à créer à partir de la violence et de la douleur, en ne faisant jamais impasse sur l’indicible.
Le poème se débat et s’élabore contre la mémoire du corps marqué par l’empreinte invisible de la violence. À travers une narration fragmentaire, il est question de sauvegarde de soi et de recherche d’une force collective comme réparation. C'est ici dans l'intime que se joue l'émancipation ; et le verbe de réveiller la force qui n’a jamais quitté l’autrice.
Paiment sécurisé
Livres de qualité
l'ensemble de nos sélections proviennent d'éditeurs indépendants et de qualité !
Livraison et service public
Pour soutenir les services publics en France, l'essentiel de nos livraisons se feront par La Poste.
Tant qu’il reste quelque chose à détruire est le chemin poétique d’une reconstruction après le viol. Mag Lévêque éclaire par le poème le lien à la honte, à la culpabilité, à la sexualité. Au-delà du témoignage, elle parvient à créer à partir de la violence et de la douleur, en ne faisant jamais impasse sur l’indicible.
Le poème se débat et s’élabore contre la mémoire du corps marqué par l’empreinte invisible de la violence. À travers une narration fragmentaire, il est question de sauvegarde de soi et de recherche d’une force collective comme réparation. C'est ici dans l'intime que se joue l'émancipation ; et le verbe de réveiller la force qui n’a jamais quitté l’autrice.
Tant qu'il reste quelque chose à détruire
1 Produit
Fiche technique
- Auteur·ice
- Mag Lévèque
- Genre
- Théâtre et poésie
Commentaires (0)
Aucun avis n'a été publié pour le moment.
Tant qu’il reste quelque chose à détruire est le chemin poétique d’une reconstruction après le viol. Mag Lévêque éclaire par le poème le lien à la honte, à la culpabilité, à la sexualité. Au-delà du témoignage, elle parvient à créer à partir de la violence et de la douleur, en ne faisant jamais impasse sur l’indicible.
Le poème se débat et s’élabore contre la mémoire du corps marqué par l’empreinte invisible de la violence. À travers une narration fragmentaire, il est question de sauvegarde de soi et de recherche d’une force collective comme réparation. C'est ici dans l'intime que se joue l'émancipation ; et le verbe de réveiller la force qui n’a jamais quitté l’autrice.